Études cliniques sur le MAGICRAMP® et les effets de l’électricité statique sur diverses pathologies.

études cliniques Magicramp

1. L’étude clinique qui a prouvé l’efficacité de ce traitement naturel dans 84,6% des cas contre les crampes nocturnes.

En 2023, une étude clinique* randomisée en double aveugle avec placebo a démontré l’efficacité du MAGICRAMP® dans 84,6% des cas contre les crampes nocturnes.
Voyez la publication ci-dessous :

*Neto, S. , Siman, H. and Queiroz, G. (2024) Evaluation of the Efficiency of the Magicramp® Device for Reducing Cramps Resulting from Oncological Treatments: “Double-Blind, Randomized Clinical Trial”. Open Journal of Preventive Medicine, 14, 110-130. http://dx.doi.org/10.4236/ojpm.2024.145009

Comment s’est déroulée l’étude?

L’étude clinique a été réalisée à l’hôpital Araujo Jorge, de Goiânia au Brésil, sur 30 femmes ayant subi une chimiothérapie pour un cancer du sein. Elles ont été réparties en deux groupes : l’un avec le vrai MAGICRAMP®, l’autre avec un placebo.

Ni les patientes ni les chercheurs ne savaient lesquels étaient réels ou placebo. Chaque personne a utilisé MAGICRAMP® (ou le placebo) pendant deux semaines à la maison. Elles ont ensuite répondu à un questionnaire sur les effets observés.

Pourquoi cette étude clinique?

En 1995, Jean-Marc WILVERS, naturopathe belge aujourd’hui retraité (69 ans) a découvert que la cause essentielle du déclenchement des crampes chez les adultes (et des douleurs de croissance chez les enfants) est un excès d’électricité statique dans le muscle, qui envoie à celui-ci un micro-signal électrique lui ordonnant de se contracter. Cette contraction, c’est la crampe.

En près de 30 ans, il a déjà fait connaître son MAGICRAMP® à plus de 20.000 personnes, dont 90% n’ont plus eu de crampes dès le premier jour. Et les effets durent généralement plus de 10 ans.

Journaliste? Médecin?

Jean-Marc WILVERS, l’auteur de cette technique pour éliminer les crampes nocturnes, sera heureux de s’entretenir avec vous 7 jours sur 7 entre 13 et 23 heures (heure de Paris) :

  • +33 (0)9 75 18 13 08
  • +32(0) 2 588 15 90
  • +41 (0)21 588 05 95
  • +1 5817 012 132

ou par WhatsApp: +55 62 992215 333 (il est belge et vit au Brésil).

Pourquoi dans un hôpital de traitement du cancer ?

Les crampes dues à la chimiothérapie sont les plus fortes qui existent, et se manifestent souvent deux à six fois chaque nuit.

C’est donc un véritable enfer pour les personnes qui en souffrent.

Il était important de démontrer l’efficacité de la méthode sur les crampes les plus fortes.

Voyez par exemple le témoignage de cette dame. Elle n’avait pas cinq ou six crampes par nuit : elle n’en avait qu’UNE SEULE, mais elle durait de 21 h à 7 heures du matin…

Qu’est-ce qui a été démontré par cette étude ?

Outre l’efficacité incontestable du MAGICRAMP®, cette étude a clairement démontré que la cause essentielle des crampes est un excès d’électricité statique.

Pour résumer, les causes secondaires des crampes (âge, manque de magnésium, certains médicaments, certaines maladies,…) ne sont pas directement responsables de l’apparition des crampes.

Elles provoquent seulement un déséquilibre ionique local (excès d’ions positifs) qui génère une source d’électricité statique.

Cette électricité statique parasite s’accumule pendant la journée, et se décharge pendant la nuit, provoquant une contraction d’un (ou plusieurs) muscles. C’est la crampe.

Ce processus de déclenchement des crampes est la chose la plus importante qui a été démontrée par l’étude. Il est le même dans ces pathologies:

  • Proctalgie fugace (horribles crampes au niveau de l’anus) : le sphincter de l’anus est un muscle squelettique strié comme le mollet, et il peut également être touché par des crampes.
  • Douleurs de croissance chez l’enfant qui apparaissent entre 2 et 4 ans : ces douleurs peuvent survenir au niveau du mollet, mais aussi des muscles fins du genou, du tibia ou du pied.
  • Crampes menstruelles causées par la dysménorrhée (pas l’endométriose, ce qui est complètement différent) : ces douleurs sont provoquées par des contractions (= crampes) de l’utérus. Ce sont donc des «crampes utérines».

Importance d’éliminer les crampes après la chimiothérapie.
Après la chimiothérapie, les patients sont très fatigués. Ils ont besoin de beaucoup de sommeil pour récupérer. Mais s’ils souffrent de crampes très fortes (parfois pendant des heures chaque nuit…), ils ne parviennent pas à récupérer et leurs défenses immunitaires deviennent très faibles. Les conséquences sont très graves : de nombreuses personnes sont dans un état de dépression, sans énergie, et leur espérance de survie s’en trouve affectée.

Au contraire, si la personne dort bien (= plus de crampes), elle récupérera plus facilement, et conservera un bien meilleur moral. L’espérance de survie après un cancer sera bien meilleure.

Une nouvelle étude est en préparation pour étudier la différence d’espérance de vie entre des personnes ayant des crampes après une chimiothérapie, et des personnes qui n’avaient pas de crampes après leur chimio.

2. Etude en cours sur les jambes sans repos

Une étude clinique est actuellement en cours dans un hôpital d’hémodialyse au Brésil sur les effets du MAGICRAMP® sur les jambes sans repos. Nous vous tiendront informés sur cette page…

Pourquoi en hémodialyse?

En fait, cela nous permet d’évaluer les effets du MAGICRAMP® en quelques minutes sur les personnes qui ont des jambes sans repos durant la séance d’hémodialyse.

En effet, durant ce long processus de filtrage du sang, le taux de dopamine diminue souvent, et les symptômes apparaissent déjà en journée (en plus de se prolonger la nuit). C’est donc un terrain d’étude idéal.

Pourquoi au Brésil?

Jean-Marc WILVERS, l’auteur de la méthode de Neutralisation de l’électricité statique, et concepteur du MAGICRAMP®, est un naturopathe belge retraité qui ne supportait plus le froid.

Il a épousé une Brésilienne et vit avec elle au Brésil depuis 2008.

3. Autres études intéressantes réalisées sur le MAGICRAMP®

Etude sur l’intolérance au froid des personnes atteintes du SPP (syndrome post-polio):

environ 25 % des survivants de cette terrible maladie (qui tue 50 % des enfants atteints entre 5 et 10 ans) développent ce qu’on appelle le « syndrome post-polio » ( PPS), qui se manifeste principalement par des douleurs musculaires permanentes, et également par une forte intolérance au froid des pieds la nuit.

De nombreuses personnes dorment avec deux chaussettes et ont encore froid aux pieds.

Deux études ont ensuite été réalisées avec MAGICRAMP®:

En 2017, une première étude à l’UNIFESP (Université fédérale de São Paulo), réalisée par thermophotographie auprès de personnes atteintes de PPS, a démontré qu’en neutralisant l’électricité statique des pieds avec le MAGICRAMP®, la température des pieds augmentait de manière significative.

Or, chez une personne non atteinte par le PPS, cette température n’augmente pas.

Les résultats ont été présentés au Congrès national de neurologie de São Paulo et au Symposium international sur les maladies rares de la MND – Motor Neuron Disease Association, à Boston (États-Unis).

Confirmé ces Résultats

Une deuxième étude clinique* (auprès de 30 personnes atteintes de SPP, réparties en deux groupes) randomisée, en double aveugle avec placebo, a confirmé ces résultats

*Monalisa Pereira Motta, Katia Maria Campos, ¹Abrahão Joviniano Quadros, Acary Souza Bulle Oliveira, Francis Meire Favero, Vagner Rogério dos Santos – Réduction des charges ioniques dans l’intolérance au froid chez les patients atteints du syndrome post-polio
Une troisième étude clinique* (auprès de 30 personnes réparties en deux groupes) randomisée, en double aveugle avec placebo, a été réalisée chez des personnes présentant des douleurs musculaires permanentes très sévères (crampes et autres douleurs).

Les résultats sont bons, mais difficiles à décrypter, car on ne sait pas avec certitude si la douleur était de véritables crampes ou d’autres douleurs musculaires. De plus, ces personnes prenaient continuellement des analgésiques. Cette étude ne peut donc pas être considérée comme une preuve d’efficacité totale. D’autres études plus approfondies étaient programmées mais ont été interrompues début 2020 en raison du Covid.

4. Nouvelles études prévues sur les douleurs de croissance chez les enfants, les crampes menstruelles causées par la dysménorrhée, la proctalgie fugace (crampes de l’anus)

Douleurs de Croissance des Enfants

Les douleurs de croissance survenant entre 6 et 9 ans chez des enfants très sportifs sont des douleurs osseuses (maladie d’Osgood-Schlatter ou maladie de Sever) contre lesquelles le MAGICRAMP® est inefficace.

Les douleurs de croissance des enfants, survenant entre 1 an et demie et 3 ans, fonctionnent exactement comme les crampes nocturnes des adultes : ce sont simplement des crampes infantiles.

Leurs causes secondaires sont liées à la croissance de l’enfant, qui provoque un déséquilibre ionique (excès d’ions positifs), générant une source d’électricité statique parasite dans le mollet, ou dans les muscles fins du tibia, du genou ou du pied.

La cause essentielle de leur déclenchement est l’impulsion électrique générée au repos par la décharge de cette électricité statique dans le muscle. Le MAGICRAMP® élimine complètement ces douleurs dès le premier jour dans plus de 90% des cas.

C’est ce que nous allons démontrer dans l’étude que nous préparons dans un hôpital pédiatrique.

Douleurs Menstruelles de la Dysménorrhée

Ces douleurs de la dysménorrhée (douleurs menstruelles survenant uniquement durant les règles) sont surtout très fortes chez les adolescentes, lors de leurs premières règles. Certaines vont jusqu’à s’évanouir de douleur.

Ces douleurs sont en fait des contractions du myomètre, le muscle de l’utérus. On peut donc les appeler des « crampes utérines ».

Les causes secondaires de ces douleurs sont donc liées aux transformations momentannées de l’appareil génital de la femme durant les règles, ce qui provoque un déséquilibre ionique (excès d’ions positifs) au niveau de l’utérus et génère une source d’électricité statique parasite dans le myomètre.

La cause essentielle de leur déclenchement est l’impulsion électrique de la décharge constante, durant la période des règles, de cette électricité statique dans le myomètre. L’INTIMI-D(R), une version spéciale du MAGICRAMP®, se glisse dans la culotte et élimine complètement ces douleurs dès le premier jour dans plus de 90% des cas.

C’est ce que nous allons démontrer dans l’étude que nous préparons dans le service gynécologique d’un hôpital, sur des étudiantes en médecine souffrant de ces douleurs.

Proctalgie Fugace (Crampes Anales)

Les crampes anales portent le nom de « proctalgie fugace ». Ce sont les crampes plus rares que celles des mollets, mais ce sont surtout les plus douloureuses. Les personnes qui en souffrent décrivent cette douleur comme la sensation qu’on leur enfonce un couteau dans l’anus.

Ces douleurs sont des contractions du sphincter, le muscle de l’anus. Le sphincter est un « muscle squelettique strié », tout comme le mollet. Il peut donc lui aussi être atteint de contractions involontaires, ou crampes.

Tout comme les crampes aux mollets, les causes secondaires de la proctalgie fugace sont donc un déséquilibre ionique (excès d’ions positifs) au niveau de la région anale, ce qui génère une source d’électricité statique parasite dans le sphincter anal.

La cause essentielle de leur déclenchement est l’impulsion électrique générée au repos par la décharge de cette électricité statique dans le sphincter. Le MAGICRAMP® élimine complètement ces douleurs dès le premier jour dans plus de 90% des cas.

C’est ce que nous souhaitons démontrer dans l’étude que nous préparons dans un service proctologique, probablement en France ou au Brésil.